Une femme dite Gerusalemme !

Une femme dite Gerusalemme !

Je rêvais renaître comme un palmier
Tandis que je méditais sur mon existence
Et respirer ton air frais et printanier
Qui apaise mon âme rongé par les souffrances

Je voulais caresser les flèches et les lames
Sur lesquelles on a gravé ton nom
Pour lequel on sacrifie les vies et les âmes
Et on se tue avec de terribles canons
Et tous tes amoureux s’abreuvent.. 
De tes mystères et tes eaux inépuisables
Qui coulent d’amour comme un fleuve
Dont la force demeure toujours formidable

Oh toi précieuses, inébriante et disputée !
Comme une femme très belle dont l’histoire ressemble
A une guerre dans laquelle on ne cesse de lutter
Et le monde..pour toi d’amour tremble

D’amour, toi qui nous susurre....oh bienaimé :
De ne pas haïr et ne pas faire la guerre,
Car chacun sera jugé pour la mort qu’il a semée

Et son palmier n’aura pas de place dans ton fécond désert

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